mercredi 27 novembre
L’adjoint du gouverneur de la région de Louga, chargé des questions de développement, Fally Sow, s’est félicité, lundi, de la bonne organisation notée au démarrage du baccalauréat 2019 dans des centres d’examen visités par les autorités régionales.
‘’Nous venons de faire le tour de quatre centres pour s’enquérir de l’état d’organisation générale de ce Bac 2019 et, dans l’ensemble, nous avons noté une bonne organisation’’, s’est-il félicité.
Il s’exprimait au terme d’une visite au lycée Malick Sall, au lycée franco-arabe et au lycée El Anafia, des centres d’examen de la commune de Louga.
Selon M. Sow, le dispositif sécuritaire est bien en place dans les différents centres visités, où les présidents de jury et les surveillants des salles d’examen ont répondu présents.
‘’Quelques absences ont été notées du côté des élèves’’, a-t-il toutefois signalé, félicitant les chefs de centre des dispositions prises afin qu’il n’y ait aucun cas de fraude.
La région de Louga compte 25 centres d’examen pour 6.848 candidats, dont 3585 filles, soit un pourcentage de 52,3% de l’effectif total des candidats, a rappelé l’inspecteur d’académie, Bou Fall.
Selon lui, les effectifs ont connu une baisse entre 2018 et 2019, passant de 7.542 à 6.848 candidats.
‘’Cela pourrait s’expliquer par le fait qu’il y a trois ans, les résultats du BFEM [Brevet de fin d’études moyennes] n’étaient pas fameux de même que les moyennes qui permettent de passer en classe supérieure et cela a eu un impact sur l’effectif de cette année’’, a-t-il expliqué.
Bou Fall est revenu sur ‘’l’important dispositif’’’ mis en place, depuis l’année dernière, dans l’organisation de l’examen pour lutter contre les cas de fraude en interdisant l’utilisation du téléphone portable par les candidats dans les centres.
‘’Nous sommes optimistes parce que nous pensons avoir pris toutes les dispositions avec l’office du bac. Les convocations et tout le matériel sont venus à temps. Le personnel de surveillance et de correction a reçu les convocations’’, a-t-il dit.
Le défi qui reste, a poursuivi l’inspecteur d’académie, est celui du taux de réussite.
‘’Nous espérons avoir un taux supérieur à celui de l’année passée. Nous avons eu une année assez normale, donc il n’y a pas de raison pour qu’ils ne puissent pas répondre aux questions qui leurs seront posées’’, a-t-il rassuré.
SK/ASG/OID/AKS
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